Le matin trouva Lauriana recroquevillée auprès des braises presque éteintes, encore enveloppée dans la thermométrie ténue d’un gerbe mourant. Elle se redressa mollement, chassant de ses paupières la désagrément nocturne et caressa d’un geste protecteur la couverture du livre familial qu’elle avait glissé marqué par sa mine pour la nuit. https://sergionqwto.nizarblog.com/33233467/lauriana-voyance