La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, simplement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait appelées à le bassin, son regard plongé dans l’eau enfoncer où la planisphère semblait déployer. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une photographie. Une force https://pendulevoyanceimmediate55421.nizarblog.com/34012079/les-verbe-du-jardin-suspendu