La cabane tremblait marqué par la pression du vent, tout rafale s’engouffrant à travers les interstices des planches vieillies. Le sourde pénétrait tout, s’infiltrant dans les réduites recoins, mais ce n’était pas ce qui glaçait l’explorateur. Le carnet, posé devant lui, continuait d’écrire seul, traçant des citations qui semblaient s’adresser https://josianhaqgu76420.jiliblog.com/90635192/les-lignes-de-la-destinee