Dans les ruelles d’Istanbul, au cœur du bazar animé, un marchand du homonyme d’Orhan découvrit un objet particulier parmi ses modernes acquisitions. Il s’agissait d’un coffret en bois, noir et adroitement sculpté, décoré d'arabesques indéchiffrables qui semblaient danser sous la luminosité des lampes à huile. Aucun souvenir de l’avoir acheté, https://jolie-voyance12210.bloggazzo.com/32947881/l-éclipse-des-chroniques