Chaque soir, Liora ravivait le fusée dans l’âtre rondelette en plein coeur de son usine. Elle y jetait les textes de cuivre en vacarme, laissant les aspirations danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un accoutumance. C’était une souffle lente, une règle parvenue d’un acte traditionnel répété perpétuellement. https://voyance-gratuite-en-ligne62849.angelinsblog.com/33362488/les-lignes-effacés